Salle commune (Suite du sujet principal)

-Je ne sais point, mais d'après moi, ce n'est pas trop sympathique. Pour la bière, je peux bien aller vous en chercher une mais pour le repas, il faudra malheureusement attendre, étant donné que je ne suis pas l'aubergiste.

Il se leva pour aller chercher une bière mais s'arrêta en chemin pour aller demander un bon gros repas à l'aubergiste, toujours à la table. Il revint une minute plus tard, une grosse bière à la main. (Je t'en avais pas déjà donné une?)

(si oui, cite moi le passage)

-Merci.

Tout en buvant et en mangeant, il sortit un livre à reliure de cuir, une plume et de l'encre. Il ouvrit le livre et nota quelques passage tout en mangeant.

Zorlock a écrit:

Zorlock alla chercher un verre à l'homme

Bon c'est pas grave, on en fera pas un drame.

Tout en fixant l'homme, Zorlock dit:

-Qu'est-ce que ce livre, et vous, qui êtes vous?

Un voleur de vie avec une longue cape et un capuchon sur la tête entra et alla directement voir l'aubergiste et lui demanda:

Bonjour cher aubergiste, puis-je avoir une bonne choppe de bière?


Tout en tendant une larmes bleu.

Comme il personne ne lui répondait et qu'il avait soif il alla derrière le comptoir se versa une bière dans un gros pichet et mît les 5 larmes dans la mains de l'aubergiste avant de repartir en haut pour entrer dans une chambre.

Descendent les marches, le midna vit Zorlock et alla lui parler

Désolé pour mon action tout à l'heure, c'est qu'avec tout se grabuge je croyais qu'il y avait disons... Une bataille. Puis-je vous payez une bière et repartir à zéro.

Il lui montrait la main en signe qu'il voulais une pognée de main.

Zorlock lui serra la main et se leva avec l'intention de lui expliquer.

-Vous n'avez pas vraiemnt besoin de vous excuser. En fait, j'ai frôlé la mort tellement de foies depuis le vrai début de ma vie que c'est presque normale. Et non merci pour la bière, je ne bois pas d'alcool.

Et bien, je suis content que vous me pardonniez l'ami. Si vous avez besoin de moi vous avez qu'à me faire signe je vais voir se que je peu faire.

Le voleur de vie monta les escalier et retourna dans la chambre.

Blake adosser sur la porte de la chambre, observait du coin de l'oeil Laora descendre les marches.
Il s'avança tranquillement de trois pas, posa son épaule sur la poutre qui était placée devant la chambre, croisa les bras et observa l'ensemble de la salle, un étage plus bas.

L'Olfarie, justement, avait quitté la chambre et atteignait, son pied droit touchant le sol, au rez-de-chaussée, dans la grande salle. Souriante, elle observait l'assemblée. Tout au long de sa progression, Laora chantonnait, manifestement son coeur était de nouveau légere.

- Depuis dix ans mercenaire, je vais de fortune en misère, depuis dix ans mercenaire, je vais de fortune en misère, de combat et de guerre en guerre, je suis attendue en Enfer, de combat et de guerre en guerre, je suis attendue en Enfer, que m'importe vos banières et la couleur de vos blason, que m'importe vos banières et la couleur de vos blason, je ne suis né d'aucune terre, je n'ai rien à moi, que mon nom ! Je ne suis né d'aucune terre, je n'ai rien à moi, que mon nom !

Sous le rythme de la chanson, L'Olfarie se dandinait légèrement, en venant a tourner la tête vers la chambre, pour apercevoir Blake qu'elle toisait longuement, le faciès incliné d'un seul sens.

Le voleur de vie était revenu très rapidement, à peine il est sorti qu'il réentra. En entra il dit a voix haute voix

Pas de redcap sans bière.

Puis il parti plus loins a une table dans un coins à gauche de l'auberge, la table était isolé avec quelque chandelle autour de celle si. Il éteignit les chandelles et nous ne pouvions voir qu'une silouhette dans le coins de l'auberge.

Blake fut surpris de revoir si rapidement Larem,il se demandait si tout savait bien dérouler, mais aux moments où il entendu les paroles de Larem, il se senti plus rassurer.
Blake attendait que Larem éteigne toutes les chandelles de la table avant de se diriger vers l'escalier. Arriver devant l'escalier il balaya la salle de son regard, il mit une main dans son shozoku (vêtement ninja) et descendit un à un les marches toujours en gardant la tête basse. Arriver au rez-de-chaussée il se dirigea lentement vers Larem et s'assis. Posèrent les coudes sur la table en chuchotant.
-Tout ces passer comme prévu.

Le midna toussota un petit peu et ensuite prit la parole à voix basse a peine audible:

Tous c'est passer comme voulu elle était a coté de l'auberge et ma donner notre paiment, mais a mon retour quelqu'un que je connais bien ma intercepté et ma dit qu'une certaine Laora Del Luna était en dangé. C'est pas ton amie olfarie sa?


Il lui a chuchota quelque chose ensuite à l'oreille. (MP)

Puis il s'étendit d'en sa chaise les bras sur les encoudoires.

Blake tourna rapidement la tête vers Laora et dit à mi-voix.

-effectivement, c'est bien elle.

Il se leva doucement de son siège, se dirigea directement vers Laora, la prit par la taille d'une main et lui présenta la table où Larem était assis avec l'autre main tout en lui disant à l'oreille.

-Si vous voulez bien me suivre.

Blake la regardait droit dans les yeux.

Laora qui s'était mêlée à l'ambiance de la taverne, fut surprise de voir Blake lui saisir la taille. Le fixant un moment, elle souriait, se redressant pour se diriger vers Larem.

- Volontier.

Blake accompagna Laora à la table, là où était assis Larem.
Il tira la chaise de l'olfarie, attendit qu'elle s'assoie et fit un signe de tête à Larem avant d'aller s'assoir devant lui.

Laora s'était assise, remerciant Blake d'un signe de tête. Puis, les regardant tour à tour, trouvait a froncer les sourcils, légèrement intriguée. C'était sans doute que dans sa tête, enfin... Elle fermait les yeux un peu, souriante.

- Rebonsoir, tendres amis. Comment vous portez-vous ?

Le midna avança un peu son visage pour se rapprocher de Laora et lui dit :

Mal, je ne sais point si j'ai été mal informé mais... est-ce que quelqu'un vous en voudrais par hasard ?

- M'en voudrait..?

Elle baissa le regard, posant son menton entre ses doigts.

- Et bien, c'est possible, oui... Disons que j'ai été, pour plusieurs... Enfin, c'est possible, j'imagine.

Mordillant ses lèvres, Laora semblait pensive.

- D'où tiré vous cette information, si je puis savoir ?

La voix ne savait cacher une certaine inquiétude, alors que l'Olfarie s'agitait un peu sur son siège, cherchant du regard Adara.

Déconcerté, Larem et dit:

Un contact nous as prévenus que quelqu'un voulais votre peau. Mais je ne c'est pas qui.

- Je vois...Euh... Merci...

Le regard apeuré, et pas que le regard, d'ailleurs, l'Olfarie s'agitait un peu plus, glissant ses mains contre son visage, accompagné de soupirs léger. Elle retenait des larmes, pensant que le passé la rattrapait.

- Pitié... Pas Lui.

Marmonnait-elle, le front contre la table.

Blake n'avait pas bougé depuis et gardait toujours la tête basse et dit à voix basse.

-Donc, la personne en question devrait la suivre et la seule personne qui est entrée après vous est l'homme à la cape noir derrière vous. À moins que vous n'ayez d'autre personne en tête, il n'y a que cette personne.

Levant les yeux, pour regarder Blake, Cayrelle trouvait a sourire. Frottant ses poings contre ses yeux, son buste se redressait, ainsi qu'elle même, se positionnant plus confortablement, une jambe glissant par-dessus l'autre.

- Je ne crois pas que ce soit lui.

Dit-elle, jettant un regard vers l'homme à la cape noire.

- J'ai une petite idée, oui. Et c'est sans doute, si c'est lui, d'une façon... Un tantinet plus traître qu'il s'en prendra à moi.

Ce qui, sur le moment, la fit paniquer. Où était Adara !? De toute façon, elle était armée et... Il ne la connaissait pas ! Heureusement.

- De toute évidence, il ne m'a pas suivit, mais était ici un peu avant. Pour qu'il s'informe sur une certaine Laora, et que les gens puissent vous le dire, c'est dire qu'il a du se faire connaître, un tantinet déja, si ce n'est quant en qu'un homme recherchant une certaine Laora. Vous en pensez quoi ?

Cette fois, la mine d'apitoiement était partie, la laissant souriante, une lueur au fond des yeux. C'était intriguant, comme histoire ! Et, sincèrement, elle espérait un dénouement heureux ! Mais pour cela, il fallait déja entamer l'histoire.

Je suis désolé mais nous ne sommes pas asser proche pour vous aidez gratuitement, il faudrait au moins avoir une petite paye pour se grand travail.

Il attendit sa reponse.

Ayant remarqué le regroupement, Zorlock se mit à écouter d'un oreille attentive mais il ne pût percevoir tous les sons étant donné le bruit dans l'auberge. Il alla s'asseoir à une table tout de même près mais tout de même loin pour être discrète. Il fit semblant de faire quelques rythmes avec le plat de sa dague sur la table.