Salle commune (Suite du sujet principal)

Entendant la douce musique sortant de la flûte de l'olfarie, Zorlock détourna la tête et vie une silhouette féminine. Se demandant si c'était Laora qui revenait. Il allait lui demander quand elle l'aborda. Il resta muet un momeent et répondit par la suite:

-Ne vous excusez pas, gente dame, vous me sortez simplement de ma rêverie que je voulais justement en sortir. Vous avez malheureusement raison, je ne suis pas d'humeur ce soir. Mais vous? Que faites-vous ici à une heure si tardive?

La nouvelle venu lui fit alors un plus large sourire contente que l'inconnu réponde à ses propros:

-Vous voyez Mesire Chevelier , j'adore me promener à la lueur des étoiles, la lune est ma confidente, quand mon coeur a envi d'éclater je m'adrese à elle comme à une mère et quand 22 heure sonnes, vous n'êtes pas s'en s'avoir que les Olfaries son tenue de garder le silence quand le couvert de la nuit est totalement tomber mon cher chevalier, je me contente de lui jouer une aire de musique. Vous devriez vous adresser à elle, dans votre état, pardonnez mon imprudence, cela ne vous ferais que du bien ! La vie est trop courte pour déprimer ! Si je puis me le permettre sans trop braver les frontière de l'irespect je pourrais peut-être vous jouez une melodie cela apaisera peut-être votre âme et fera envoler vos tracat au rytme des douces notes ?

Elle s'inclina de nouveau devant cet homme si mystérieux en portant la main à sa ceinture, la ou était ranger son instrument.

-Cela me fera grand plaisir Chevalier...Euh pardonnez-moi je ne suis que maladroite, Monsieur Zorlock, de vous prêtez mon instrument cela fera changement d'ententre d'autre notes que les miennes. Je me présente.

Elle bomba le torse de fièrter tout en s'inclinant devant l'homme qui se tenait devant elle.

Néryssa, mon prénom suffira, Je suis enchanté Monsieur de faire votre connaisssance.

Elle lui tendit sa flûte et s'assit en les jambes croisé sur le sol. Néryssa ferma les yeux et attenda que Zorlock entâme une mélodie.

Zorlock débuta une mélodie inconnue de la jeune femme mais fort harmonieuse. Elle dura à peu près 3 minutes.

-Et puis, comment me trouvez-vous. Mais je vous en prie, ne m'appelez plus Messieur, juste... Zorlock.

Il adressa ensuite un sourire radieux l'olfarie. Bien sûr elle ne le vit pas à cause de son bandeau.

Néryssa ne réagit pas tout de suite. Elle rejouait la musique dans sa tête. Comme elle l'avait apprécier ses douces notes.

-Veuillez me pardonnez, j'appelle monsieur tous ceux que je croise sur ma route. Vous jouez merveilleusement de la flûte mais je dirais que je fais mieux.
Elle éclata de rire en faisant un clin d'oeil à Zorlock.

-Nous ne somme pas si différent vous et moi. Nous jouons tout deux de la musique, et , nous cachons tout deux notre visage.... Mais dite moi pourquoi vous me semblez si triste... Pourquoi êtes-vous dehors alors que la fête se passe à l'intérieur ?

La jeune femme fixait de ses yeux bleu océan l'homme. Elle avait toujours un petit sourire qui flottait sur ses lèvres mais elle avait un air plus sérieux .

-Et bien, normalement, je suis plus sérieux, plus secret et discret mais on dirait que j'ai de la difficulté à cacher quoi que se soit aux olfaries. Apparemment, c'est ma seulle faiblesse.

Zorlock alla ensuite s'asseoire au bas de l'arbre le plus proche, en indien. Apres avoir rendu la flûte à l'olfarie, bien évidemment.

Néryssa le regarda longtemps. Puis elle porta son regard à la lune.

-Je suis désoler mais je dois partir, 22 heure sonnera bientôt et.... et je crains ne pas vous être utile plus longtemps mon jeune ami. Souvenez vous d'une chose, la lune est votre confidente. Quand à moi je campe non-loin d'ici peut-être aurons nous la chance de nous croiser de nouveau.
Elle s'inclina de nouveau et s'éloigna, la flute à la bouche, tentant de reproduire l'aire que Zorlock venait de lui jouer.

Keverthin sortit de l'auberge. Il ne voulait que socialiser, mais il sentait plutôt avoir fait éclater le groupe à l'intérieur de celle-ci... Décidément il était damné...
Il partit en direction du vilage, passant près de l'arbre ou était assis Zorlock, sans pour autant s'en rendre compte... Keverthin broyait à nouveau du noir.

me nommer était la première chose que j'ai faite:P

Oh, j'ai tenté de d'abord connaître tous et chacun pour nous faire des alliés et des amis, mais il me semble que j'ai plus perturbé le cours des évènements et ammené la déception chez plusieurs. Tout est éclaté encore une fois par ma faute

Arthorios, voyant une fois de plus son nouveau camarade sombrer dans une phase d'appitoiement sur lui-même, soupira légèrement et lui dit avec ferveur ce qui suit, dans l'espoir d'apporter une quelconque aide qui pourrait aider ce personnage troublé à trouver la rédemption.

-Allhons! Il serait themps que vous arrêtiez de pensher que tout est votre fhaute! Regarrdez-moi! J'ai eu un échec, un dhurr échec pour un guerrier servant de Zadafy... mais j'ai surrmonté l'épreuve et Zadafy m'a redonné espoir et ma détermination est solidhe! Je saihs ce quhe j'ai à fhaire et je le fhais pour donner un sens à mha vie!

Petite absence mentale, Laora s'était égarée dans ses pensées. D'ailleurs, lorsqu'elle en sortit, il ne restait personne, du moins, aucun de ce qui lui avait tenu compagnie. Plissant les yeux, sous une interrogationcertaine, ses petits poings venaient rouler contre ses yeux. Profitant de sa solitude, elle tira de sa besace rose un parchemin et en fit la lecture, chantonnant et même que, parfois, son regard se soulevait, explorant la salle et ses occupants avant de retourner courrir sur le papier.

L'Olfarie avait l'aire d'avoir oublier la présence du tenancier qui était rester assis a sa table a écoutez les discussions. Décidément, plusieurs avaient l'aire de s'apitoyer sur leur sort, mais pas cette drole de créature. Elle se mit a chantonner doucement.

-Je vous dérange peut-être? Vous avez l'air absorber par votre bout de papier.

Il avait peur d'avoir fait sursauter l'Olfarie, mais elle s'en remettrait bien.

Effectivement.

- Iiiah !!!

D'un bond, elle était debout, les paumes plaquées à la table. Dressant le regard vers le tenancier, sa frimousse s'inclinait d'un seul sens, laissant échapper un rire.

- Vous êtes si silencieux que je vous avait oublié ! Mais pas du tout ! Et puis, d'ailleurs...

Elle jetta le parchemin dans sa besace, que l'Olfarie reprit, puis contourna la table, pour attraper avec douceur le poignet d'Irvrak.

- On doit aller désinfecter et panser tout ça ! Venez !

Laora tirait un peu, lui montrant son envie de l'aider, mais pas plus, ne voulant pas le forcer. Ou pas trop. :p

Irvrak rit lorsque la dame sursauta et lui répondit après qu'elle lui ait proposer son aide

-Je crois que je m'en remettrais, mais si vos facultez permettre de guérir mes plait plus rapidement, je ne refuserai aucunement votre aide. Ensuite, peut-être accepteriez vous de boire un verre de vin, je vous l'offre.

- Je ne peux pas... Mais on pourrait passer un peu de temps intimiment !
Qu'elle dit, termina la phrase par un petit regard presque pervers. Acquiesçant lentement, sa main relâchait le poignet de l'homme. Se redressant entièrement.

- Malheureusement, je ne peux vous aider a guerrir plus vite. Sinon vous chanter une petite chanson pour vous donnerle moral, autrement... Je sais sourire ! Et porter le rose avec force et volonté !
Dressant fièrement sa besace rose, Laora rangeait une nouvelle fois le sac. Souriante.

- Mais j'accepte le verre, très cher !

Irvrak ignora les propos de la femme, l'air gèner il agissait plutot maladroitement.

-Je...vous...je vais nous servire a boire, ensuite..nous...vous..pourrez me chantez une chanson?

Il était décidément mal a l'aise et ne savait que faire.

Rigolant doucement, les paumes pressées l'une à l'autre au niveau de sa poitrine, l'Olfarie acquiesçait vigoureusement.

- Ça me semble être une très bonne idée ! Je vous attend !

Pressant ses lèvres à la joue du tenancier, Laora retournait sur son siège, observant les allentours.

Irvrak partie a la hâte et revint quelque minutes plus tard avec un bouteille et deux coupes. Il en versa dans les deux coupes puis en tendit une vers Laora. Il attendit qu'elle en prenne avant de boire, et porta un toast à cette dame qui était si chaleureuse.

-À la votre!

Elle en bu un peu, et inclina gracieusement la tête lors du toast. Savourant le liquide, sa langue venait par moment roder sur ses lèvres, y récoltant tout l'alcool.

- Lorsque je suis arrivé, je ne vous aies pas vu. Vous êtes l'employer secondaire ?

Bouche toute grande ouverte, l'Olfarie reposait sa coupe, venant figer ses deux mains devant ses lèvres, les yeux ronds. Puis, déglutissant, les yeux closes, elle murmurait quelque chose en Kamharien. Les paupières se réouvrant, Laora reprenait son verre, en prenant une gorgée.

- Je suis bien heureuse de vous savoir ici, alors. Et les voyages forme la jeunesse !

-A vos propos je peu donc conclure que la personne derrière ce masque est plus vieille que moi? J'ai tord?

Irvrak la regardait faire tout c'est petit geste avec attention, il se demanda alors ce quelle venait de dire?

-Désoler, qu'est-ce que vous avez dit? Je ne comprend pas ce dialecte...

- Je demandais a Figola de prendre soin de l'âme du défunt, simplement.

Un petit sourire persistait sur les lèvres de la jeune dame. Venant même feinter la colère lorsqu'il parle de l'âge.

- Allons, ça ne se demande pas a une femme !

Rigolant un peu. Elle le regardait attentivement.

- Je ne sais pas, peut-être être somme nous de même âge ?