Salle commune (Suite du sujet principal)

Bonjour, ici c'est la suite du sujet Bienvenu au repos de Caladrius.

Alors qu'avait disparu Dagan l'ancien aubergiste, les activités et discussion avait repris dans l'auberge, quelque soualons et barbares ce plaisait a vider les alcools puisque le tenancier n'était pas la pour les empêchers. À un certain moment les portes s'entrouvrire et entra alors un homme, vraisemblablement un immigrant, son corps était couvert de blessure et du sang avait coaguler sur ses vêtements. Il paraissait faible et marchait lentement en direction du bar. Son dos était courber et il se tenait le ventre du au mal. Il s'installa tranquilement sur un banc d'oû il pourrait servir les boisson. Il prit un grande respiration et regarda autour de lui.

Je viens donc me présenter au contoir, avec l'air (avec le regard qui va avec) un peu inquiet.

-Mais que vous ai-t-il donc arrivé mon cher?

L'aubergiste releva la tête, regarda son interlocuteur et lui répondu tout simplement:

-J'arrivais en caravane, accompagner de quelques gardes et d'autre commerçant lorsque nos charios on violament été attaquer par des Noirreaux, ainsi donc j'ai perdu une partie de mes alcool d'autre contré que j'avais emmener ici, et j'ai du fuir a vive allure pour venir ici accomplir ma tâche.

-En fait, j'ai toujours été isoler du reste du monde, dans mon village il n'y avait que le commerce et l'économie qui importait beaucoup, mes connaissances ne sont que peut approfondie en la matière hors du marchandage, mais vous, vous m'avez tous l'air d'en savoir, je me trompe?

-Et bien, je n'ai pas eu le temps de devenir un des plus grands savants du monde, mais je sais compter, lire et écrire ,mais après, j'ai été obliger de fuir mon village . Pour le reste je n'en sais pas plus que le reste du monde ici, mais sur les redcaps, j'en connais un rayon!

- Tu goûtera à mes délices avant que la flèche ne siffle, tu baissera la tête avant que la flèche ne blesse, tu connaîtra le vertige avant que la flèche ne te fige, le feu de ton ventre me donnera une fille...

Le cri aigu des clochettes d'un tambourin résonnait, de même qu'une voix chantonnante se répandait dans l'air. Une main délicate se braquait à la porte, s'y fixant quelques instant pour l'ouvrir, et puis entrer. Glissant le dos contre la porte, l'Olfarie la fermait en s'y appuyant légèrement, laissant dévaller un regard curieux sur l'assemblée. La bouche tordue en une légère mimique de réflection, les pieds immobiles reprenaient vies, s'avançant dans la salle d'une démarche sautillante.

Depuis le début, son attention ne semblait appartenir qu'à la populasse ornant l'auberge, ignorant alors, semble-t-il, le nouveau tenancier blessé.

Voyant l'aubergiste perdu dans ses pensés, Zorlock soupira et se retourna, c'est alors qu'il vit l'olfarie entrée. N'ayant jamais vu de telle personne dans sa vie, il s'en rapprocha et l'invita à s'assoire.

Bon, comme je ne savait pas comment écrire se que je disait à l'olfarie (Opium) je l'ai tout simplement écrit, merci de votre compréhension, (pour ceux qui participent au rôle-play.)

Un peu surprise d'être ainsi abordée, Laora accepta bien entendu l'invitation. Rigolant doucement, les mains de la jeune femme venait sur son masque, le replaçant soigneusement.

- Vu la tête que vou savez faite, vous ne semblez pas avoir croiser beaucoup des miennes dans votre vie ! Je me trompe ?

L'Attention de l'Olfarie semblait passer de son interlocuteur à la salle, se dandinant un tantinet sur son siège pour y être bien à l'aise.

No problema !

Keverthin s'introduisit doucement dans l'auberge, question de ne pas trop déranger les gens à l'intérieur et observa la salle commune... attendant que quelqun le remarque en écoutant ce qui se dirait. Un homme masqué se tenait près de l'une des olfaries que Kev avait cotoyé quelque peu lors des combats à Wilius... et un homme à l'allurre d'aubergiste qui semblait blessé.

- Sur moi ?

Les épaules se soulevaient un peu, alors que l'Olfarie s'était tournée, regardant le nouvel arrivant. Bha, elle le reconnaissait ! Un sourire envers lui, question de le saluer, et puis bon, quelqu'un d'autre réclamait ses paroles tout proche.

- Et bien... C'est une question totalement piège ! Que dire sur moi ? Euh... Et bien ma soeur et moi sommes barde. Nous revenons d'ailleurs de Wilius, où il y avait eu quelques embrouilles, enfin... Sinon, sinon... J'aime bien les fleurs et les arbres ! Et aussi la lune et les étoiles, la musique, la poésie ! Et j'aime bien aussi être en présence de personne diverse, apprendre !

Elle se sentait dans un speed dating :p Posant une main devant sa bouche, elle regardait ensuite l'homme voilé.

- Mais vous ? Parlez moi de vous !

Keverthin intervint brièvement: "Si l'heure est aux présentations, alors je suggère que nous y allions tous chacun notre tour pour l'assemblée sans bien sûr ne viser qu'une personne en particulier, nous pourrons tous tisser des liens utiles s'il arrivait quelque chose de particulièrement grave... mais bien sûr, c'est à notre homme masqué de parler en premier...

Il se retira, attentif, et se rapprocha de l'aubergiste blessé lui demandant gestuellement s'il allait bien

-Merci, tout va bien, je vais finir de me remettre de mes blessure, seulement ma cargaison entière de vin a été voler par c'est foutu noireaux! Si je les attrapes je crois que...en fait je ferai rien, ne n'ai jamais su me battre.

-Comme je l'ai dit, mon village a toujours été éloigné du monde, je ne connais donc rien, et je me demandais, qu'est-ce que vous êtes madame, dit-il poitant l'Olfarie. Ha oui! Désoler, les présentation!
Il fit une courte révérence a la dame et se présenta

-Je me nomme Irvrak, Irvrak de Labans pour vous servir. Désoler de mon indiscretion, si j'ai pu vous offusqueré je ne le désirais guère.

Elle rigolait doucement, quittant son siège d'un bond dynamique. Le inois s'inclinait d'un seul sens, regardant faire le tenancier.

- Vous ne m'avez pas offenser. Mais vous êtes amusant, par contre ! Je suis une Olfarie.

Dit-elle, tappotant ensuite son masque de ses mains à la peau scintillante.

- Ravie de faire votre connaissance. Je me nomme Laora Del Luna. Honorée !

Sur ce, c'était une gracieuse courbette que l'Olfarie présentait a Irvrak.

- Et puis, pour vos blessures, nous devrions désinfecter le tout, et mettre des bandages...

"Je crois que tous peuvent considérer ceci comme une demande de volontaire... qui sait faire des bandages? (il faut avoir la compétence non?) dit Keverthin
"Pendant ce temps, écoutons notre homme masqué... j'aimerais pouvoir arrêter de l'appeller ainsi d'ailleurs... quel est vrotre nom? "

-Désoler, j'était ailleurs, dit-il en revenant tout à coup à lui dans sursaut.

Zorlock regarda le nouveau venu (Kev) en pensant qu'il venait de s'incruster dans sa conversation avec l'olfarie de manière un peu impolie.

-Pour vous répondre en premier, Laora, si je puis vous appelez ainsi, je me nomme Zorlock et mon histoire est bien trsite: Je vivais une vie normalle dans mon petit village jusqu'a l'âge de..... six ans je dirais, j'aimais la musique, la poésie et..... manger. Mais un beau jour, alors que je ceuillait des fruits avec ma mère dans les bois, une compagnie de redcaps nous a attaqué, j'ai prit la fuite juste à temps et j'ai vu ma mère mourir sous mes yeux,

Une larme coula de son oeil pour aller s'échouée sur son bandeau qui cachait sa bouche, il reprit quelques secondes plus tard.

Ces redcaps ont ensuite mis le feu à mon village! Je me suis enfui et plus tard j'ai rencontrer un vieux maitre d'arme qui m'a montré à me battre en me servant de ma ruse et de ma vitesse avec une arme qu'on appelle, katana. Après cela, j'avais envie plus que jamais de me venger des redcaps. Désormais, je les chasse mais, comme je n'ai point d'allié pour m'aider dans ma tâche, je me résou à tuer les vieux, les jeunes et les malades pendant la nuit. Peut de gens connaissent mon vrai nom, enfin, personne.

Changeant soudain de ton et redevenant calame il dit:

Mais vous vous me parraissezd'une personne de confiance, Laora, vous êtes, comment dire, la seule personne vivante qui m'ai accordé son attention et qui m'ai vraiment parlée, et pour ce je vais vous accorder de savoir mon identité.

Il prit un bout de parchemin de sa bourse, dissimulé sous sa cape, ainsi que de l'encre et sa plume. Il fit bien attention que personne ne puisse regarder et écrivit:******** ******* (MP envoyé à Opium).

Tenez, et gardez ce secret pour vous, ceci est mon véritable nom, il n'y a que vous qui le sachiez. Je vous fait confiance.

Écoutant attentivement l'histoire de Zorlock, l'Olfarie glissait une main contre celui du Chasseur, si l'homme la laissait faire, bien entendu. Souriant doucement, elle se penchait vers l'avant, pour mieur le voir.

- Je suis désolée de tout ça. Je ne pense pas que vous l'Ayez mériter et d'ailleurs, personne ne le mérite. Mais sachez bien, très cher, que la colère ne résoudra rien... C'est même une flamme qui nous consomme bien trop vite. Faites attention, s'il-vous-plaît... Et si vous le souhaitez, je vous apprendrai a redevenir un enfant, comme lorsque vous étiez petit, pour toutes les étapes que vous avez dû passer outre.

Lisant le papier, elle souriait, inclinant la tête.

- Je suis honorée de votre confiance !

Sur ce, Laora cachait le bout de papier dans son buste.

Regardant l'ofarie lui sourire, Zorlock répondit.

-Je le voudrais bien, mais comment? Il y a bien longtemps que j'ai passer ce stade de la vie. Et puis, même si vous réussissiez, je doute que ma rage contre les redcaps ne se dissipe.

Ignorant maintenant, toutes les personnes autour, Zorlock concentrait, sans vraiment le savoir, toute son attention sur l'olfarie

Arthorios, qui entra à ce moment, entendit Zorlock prononcer le mot « redekap ». -Rrhedkap?! Quelhqu'un a-t-il encohrre eu des prroblèmhes avec ces fouthues crréathures?!

Allons, Arthorios du calme. ce n'est qu,une histoire... une histoire vraie et triste, mais une histoire.

Je suis désolé zorlock. je n'aurais pas dû faire preuve de... rudesse, si je vous ai brusqué j.espère que vous me pardonnerez.

Zorlock entendit son nom et sortit de sa *bulle*. Regarda autour de lui, et, trouvant qu'il y avait maintenant beaucoup trop de personnes, dit:

-Non, bien sur. Ne vous en faites pas avec ça. Excusez moi, mais... je crois que je vais aller prendre l'air un peu.

Les saluant, il enleva, doucement, la main de l'olfarie de sur la sienne, se leva, et alla dehors.

Je suis juste à côté de la porte.

Dans l'un des coins de la grande salle, oû les bougies s'étaient éteindu lorsque l'homme blessé était entrer par la porte, était assis un être. Ce dernier observait les diverses personnes dicutés et se présenté et après en avoir détaillé la majeur parti, il s'attarda sur l'Olfari et au deux hommes autours d'elle...

Arthorios se rapprocha de Keverthin et lui dit à voix basse: -« Qu'avait donc ce malheurheux? »

Non loin de l'auberge, une douce musique résonnait au gré du vent. C'est alors qu'une Olfarie arriva une flûte à la bouche. Elle jouait une aire mélodieuse tout en s'approchant de la porte de l'auberge. Elle trotinnait et sautait au rythme de sa musique. Elle remarqua alors l'homme troublé qui semblais prendre l'aire non-loin de l'endroit oû elle se trouvait. Elle accrocha son instrument à sa ceinture et aborda l'homme. Elle fit d'abord quelques courbettes de politesse devant lui avant de parler;
Et bien bonjour Mésire chevalier, pardonnez mon impolitesse de vous aborder ainsi alors que vous ignorer mon nom mais vous me semblez point heureux, me tromperais-je ?

Elle lui esquissa un jolie sourire espiègle.