Est-ce que tout le monde est en vie? (Présentation En Jeu)

Environ une heure a passé depuis la fuite de lieu de la Journée des Héros. D'autres individus qui n'y ont pas participé ont rejoint les fuyards, qui se dirigent vers le village de Wilius, la nuit tombant rapidement.

Un homme habillé de fourrures et d'une armure de cuir passe devant la file d'aventuriers sur un destrier gris, annonçant
- Les Redekaps ont arrêté leur avancée au pont, à 5 kilomètres d'ici!

Thimoléus de Bermello, le noble ayant organisé la Journée des Héros, se trouve à au centre de la ligne à ce moment. Sans garde et apparemment choqué de se voir ainsi dépourvu, il cherche apparemment un visage connu, de préférence quelqu'un de confiance. Montant sur un rocher un peu surélevé, il crie haut et fort :
- Est-ce que tout le monde est en vie? Si vous avez survécu à ces êtres sanguinaires, par Tsay, dites qui vous êtes!

Laisse alors places un brouhaha incompréhensible.

- Et un seul à la fois, espèces de bêtes sauvages! Pire que des Chafouins en ruth!

Alors, les insultes à voix basse de certains remplissent la nuit, et à un après l'autre, les survivants de l'attaque Redekap se présentent, donnant leur nom, d'où ils viennent, ce qu'ils veulent et avec qui ils sont...

-Kry Trian, Fils de Pandora !
-Toujours debout mais sallement ammoché Sir !
*D'une voix ébréchée par les cris poussé lors de la battaille de la fuite*

-Ici Présent Zandkorrel Van het Oosten , protecteur de la nature et Herboriste a votre service Sir mais pas gratuit héhé

-En fait personne aurait vue des troupes d'un noble nommé Van Zidj ?
-Il sont distinctif par le bout de tissu bleu qu'ils portent a leur bras droit selon ce que je me rapelle.

*Grimace en prononcant le nom de Van Zidj tout en se serrant le bras droit blessé legerement par une des satanées lames rouge Redecap

S'exclame alors le Joza.

Mes plantes ....J'ai perdu mes plantes ! mes si jolies fleurs z'avez vue mes jolies fleurs ??

-Donasian, Sire. J'étais là pendant l'assaut des Redekaps. Ils était au moins, bah, quelques centaines... Je suis salement amoché, mais il y en a des plus meurtris que moi et je m'éforcerai de les soigner au mieux de ma connaissance... dit-il en essayant de tenir encore debout.

-Il y en a d'autres qui ont pris du retard, en essayant de repousser les ennemis... ils vont nous rejoindre plus tard, s'il ont survécus...

Un retardataire portant sont arbalète autour du coup répond :

-Bonjours, Moi c'est Oberen. J'ai fierment combattue les Redekaps à bout portant. Mais par contre moi j'ai aucunnement perdu de sang à ce combat et j'aimerai bien obtenir nos 1000 lames pour le grand Dolokball pour faire quelque dépense à notre destination.

Mashk, le Feral à la grosse hache, répond:

- Nous les Nomades ont est tous là...

Il regarde autour de lui, apparament il est seul.

Tout les membres, Blizzard des sentiers sont là ..sauf qu'il sont asser amoché par l'attaque .

Sélia regarde autour d'elle. Sassile est là, s'appuiyant sur elle, Éloi est au côté de Jukas qui semble chercher qu'elque chose... Où plûtot qu'elqun, car Élézzanté a disparue.

-Sélia, ainsi que notre groupe les vagabonds, sauf pour notre guériseur qui a disparue..

- Je ne court paas très vite mais je suis là sain et sauf. Je n'aime pas ces Redekaps, quelles abominations! , déclare Beveiliginen, le Joza à l'armure de bois.
- J'ai réussi à en abattre un et ai aidé à en repousser quelques autres, mais j'ai commencé ma retraite dès l'annonce de leur nombre incroyable...

Les Teliss qui étaient partie d'avance sur les autres héros, bien assis autour d'un feu préalablement alumer quelques heures plus töt entendirent les cris. Tous et chacun empoignèrent l'arme la plus près d'eux, une arc pour Armadix, une masse pour Shar Vorn, une épée pour Braltack et une dague pour Alentrax. Ils se dirigèrent lentement vers les cris, leurs yeux étant habitué à la noirceur repérèrent les héros à environ 10-20 mêtre d'eux. Ils rangèrent leurs armes et se dirigèrent vers les troupes. Se demandant pourquoi ils étaient .. si affolé?

Pauvre Lenny et Carl il on rester a la foir pour ce battre juste a leurs deux ... Il criait toujours Nous au combat on recule jamais , Et je pense bien qu'il sont mort ou achever sur le bors de la route .

Une main à la garde de son épée et son bouclier encore accroché a son bras, Siegfried s'approche, utilisant le peu de force qui lui reste.Il regarde pendant quelque secondes les blessures qu'il a, il y a une immense lacération à la cuisse gauche qui qui le fait marcher d'une allure lamentable, il a une grosse équimose sur le front et une autre lacération sur son bras qui tien le bouclier. Avec le peu de force qui lui reste il dit au seigneur.

-Bonjours seigneur Thimoléus, Je suis Siegfried, j'ai combattu lors de la première vague mais j'ai fuis a la seconde ou j'ai vus leur surnombre et leur puissance. Comme vous pouvez le constater la première vague ne ma pas laissé indemne j'espère que vous me pardonnerez ce geste de lâcheté alors que j'aurais du mourrir au combat comme les guerriers qui y ont laissé leur vie sur le champ de bataille,si vous le désirez je serais prêt à me racheter puissiez vous me pardonner.

Par la suite il regarde autour de lui si ses amis Sid, Oberen, Eri et son maître Lorick ont atteint le campement.

Un des dernier a arriver, portant de multiples petites lacération et quelques coups de griffe

-Wow, ou sont les foutus boucliers? Nous aurions pu tenir la ligne!

Marchant loin tous ces Muntjac en ce cachant dans le bois, il entendit l’appel au loin et la tumulte qui en suivit. Il se parla en lui-même :

-Ils se foutent bien des gens de notre espèce, pourquoi je leur répondrait ?

Après une brève pause : -Pourquoi aller à Wilius ? Il y a rien pour moi là-bas … Les Redkap aurait mieux fait de mettre terme à tout ça. La fin est proche …

Il replongea dans son habituel mélancolie, mais une brève lueur apparût dans son regard que personne ne puit voir.

Sortant de l'ombre, Azok le vieu féral lézard apparait. Bien qu'il semble ralentie par quelques blessures, sa bémarche chaloupé reste sure et la détermination se lit encore dans ses vieux yeux vert.

Sa cape et ses griffes sont maculé de sang et quelques scalp de redekac sont acroché à sa ceinture. Sans échanger un mot avec personne, il s'assied dans un coins, sort de sous sa cape se qui ressemble fortement à un bras de redekap et commence à le dévorer avec appétie.

Eddala s'était relevée, sans savoir comment elle s'était retrouvée près des autres Nomades. Ça ne lui importait pas: les RedKaps ne l'avaient pas touchée, et elle était avec son clan, c'était le principal. Alors debout, sa tête, constamment en mouvement, scrutait l'état des aventuriers alentours, de même que celui de ses amis, le tout, sans parler.

-Nyd Efrann, fils de pandora mon seigneur! Je viens de rejoindre le groupe... Je suis à la recherche de mes confrères, les enfants de Pandora...



Il se met alors à regarder autour de lui, un peu impatient... (Mais enfin! Où sont-ils? Ils devaient être à Willius il y a 3 heures!)

Donasian regarde autour de lui, croyant avoir entendu une voix famillière. Et soudainement, il le voit:
-OHÉ !! NYD, PAR ICI !!
-Nous sommes tous là !

*restant derrière le groupe ne disant rien*

plus frustré que jamais et littéralement innaprochable, Targor marmonnait pour lui même.

- Bande de froussard, ça prend juss' un p'tit maire brun pour crier qu'on a aucune chance, tout l'monde se sauve comme des bébés, pis aussitôt qu'y'en avait, ch'ais pas, un peu plus que... euh... 4...5... euh... que 12, ben, tout le monde courait, pis moi, j'me faisait pitcher dans l'bois, pis j'tais tu seul contre tout l'monde. C'est ca, hein, Targor, t'as pas d'mains, toi, occupes toi z'en, des fesses rouges, t'es bon rien qu'a ca, toi, d'toute facon. TSÉ! on était au moins... euh... euh... 6...7...9... 11 fois plus qu'eux autres, si on compte meme pas ceux qui se sauvaient! a moi tu seul, j'étais onze fois plus nombreux, TSÉ! maudits humains, ca fait juste parler, pis des qu'y'en a un qui s'sauve, c'est free for all! des vrais rats...

essayant de mâchonner un bout de pain qui tombait sans cesse de ses malhabiles pinces, Targor continua de se plaindre pour lui meme.