Alors que sonne la cloche ; Appel Royal

(Suite de CE sujet)

Roger, qui marche d'un pas décidé vers le Repos du Caladrius en ce petit matin frisquet, ne s'arrête qu'une seule fois en chemin; une fois caché à la vue d'Arthorios, il sort sa bouteille et prend une lampée. Du coeur au ventre, il arrive rapidement à l'auberge, mais, plutôt que de rentrer par la porte principale, pénètre part une discrète porte située à l'arrière du bâtiment.

L'immense et magnifique cloche qui trône toute en haut de l'auberge se met alors à retentir. Le son ainsi produit porte à une grande distance et est entendu par à toute créature vivante des environs. En fait, la légende dit que la cloche est enchantée et qu'elle peut même être entendue par l'esprit des défunts. Mais bon, depuis quand les légendes disent vrai?

Tout individu qui aurait eu le bon sens de dormir, à cette heure encore bien matinale, est évidemment réveillé par le son de la cloche, qui ne cesse que plusieurs minutes plus tard de retentir. Comme le dicte la logique dans une situation pareille, les aventuriers rejoignent en grand nombre l'immense salle commune de l'auberge de renom. Cependant, contrairement à l'habitude, ils trouvent un aubergiste assis sur le comptoir de l'auberge. Comme disait l'autre, "jamais 2 sans 3"...

Roger (qui d'autre vouliez-vous que ce soit?), voyant la majorité des aventuriers qu'il a rencontré à Wilius dans la salle, se lève sur le comptoir afin de dominer l'assemblée de toute sa hauteur. Certains les reconnaissent et sont étonnés de le voir si loin de Wilius, mais il repousse les questions, parlant d’une voix forte.

- Aventuriers! À ceux qui ne me connaissent pas je dirai simplement que je me nomme Roger, marchand et tavernier! À ceux qui ont la grande chance de me connaître, nous parlerons plus tard. En effet, j'ai ici une nouvelle qui vous intéressera!

Conscient que tous les regards sont rivés sur lui, il déroule solennellement le parchemin et se met à le lira à voix haute;

- Gacktev II, Roi du tout puissant Royaume de Devarach, Noble descendant de la famille royale la plus respectable de Magdor.

À tous présents et à venir,

En ce 17e jour de févriost de l’an 1008, il a été décidé que la province de Nagar’ye, au nord-ouest du Devarach, serait ouverte à tous les pionniers qui voudront s’y établir. Bordé au nord par le fleuve Kolyma et au sud par le lac Kamt, le territoire est assez vaste pour accueillir de nombreuses colonies. En effet, les richesses de ces terres n’attendent que les hommes courageux qui se proposeront de les exploiter.

Les hommes et femmes qui voudront saisir cette chance peuvent provenir de partout sur Laëstrom et appartenir à toute race vivante n’étant pas considérée comme ennemie du Devarach. Au sein de ces terres pratiquement vierges de civilisation, tous les métiers pourront mettre à profit leur expérience; soldats, chasseurs, bucherons, marchands, agriculteurs et bien d’autres. L’étendue des réalisations auxquelles peuvent prétendre les pionniers n’est limitée que par leur ambition.

Bien que la totalité des terres composant la province de Nagar’ye restera sous la souveraineté suprême de roi Gacktev II et de ses représentants et successeurs, les nouvelles colonies qui naîtront auront la responsabilité des affaires militaires, en échange de quoi la liberté marchande leur sera pleinement accordée sur le territoire du Devarach.

Ceux qui répondront au présent Appel Royal devront se rendre à la ville de Magadan, à l’ouest du Royaume, où ils signeront le registre. En plus de leur donner accès au territoire, il leur sera remis suffisamment de vivres pour survivre quelques semaines. Les colons, une fois cette étape faite, pourront accéder à leurs nouvelles terres.

Puissent les plus courageux du continent entendre cet appel et y voir l’occasion de prouver à la fois le sens de l’initiative identifiant les esprits les plus vifs et la vigueur animant les plus forts.

Reprenant son souffle, Roger savoure l'effet de sa déclaration sur la masse d'hommes et femmes de tous horizons rassemblés en ce lieu, se préparant du mieux qu'il peut à répondre à leurs questions qu'il devine nombreuses.

-Et peut-on maintenant savoirr pourquhoi c'est Roger de Willius qui se rretrrouve avec cet apphel rroyal loin de chez lhui?!, demanda Arthorios, adossé les bras croisés, près de la porte avec les Blizzard.

Roger s'assoit sur le comptoir et se met à parler.

- En fait, j'ai décidé de quitter Wilius pour aller me faire marchand à Tsay. Cependant en chemin, j'ai rencontré un des messager du Roi, qui m'a fait part de ce message... Nous avons discutés et alors je me suis dis ; "Mais Roger, tu as toi même conseillé à une cinquantaine d'aventurier de rejoindre le Repos du Caladrius, tout près d'ici! Ils pourraient être intéressés!". Je voulais ammener le message ici mais pour une raison que j'ignore, il ne voulait pas! Ensuite...

Roger semble un peu gêné.

- Ensuite, mes souvenirs sont confus... je me souviens qu'une bagarre a éclatée dans l'auberge. Nous nous sommes protégés tant bien que mal mais quand je me suis réveillé, le messager n'était plus là et son message était à mes pieds. Je suis donc parti puis... je ne sais plus trop, je me suis réveillé dans une maison abandonnée, hier soir. Vous connaissez la suite, Arthorios!

Arthorios parut songeur quelques temps, il se gratta le menton puis déclara:

-Avez vhous pensé que la bagarre ou ce quhi c'est passé avant votre rréveil dans la maison abbandonnhée, c'aurrait pu êtrre qu'on voulait vous empêcher de délivrrer le message!?

- Je crois que vous êtes trop méfiant, monsieur. La bataille n'avait aucun lien avec le message ici présent, et nous n'y avons pas participés, nous n'étions que d'innocentes victimes. Si vous voulez vraiment le savoir, je me souviens qu'un homme un peu trop saoul a insulté la femme d'un autre, et la bataille a éclatée dans toute l'auberge. Une belle bataille, d'ailleurs!

Roger semble sincère mais est quand même étonné qu'on s'attarde sur un détail mineur, en comparaison à l'Appel Royal.

- Évidemment que j'en sais plus long que c'est écrit là! Les messages officiels, il faut toujours y lire entre les lignes! Et, ayant été marchand pendant longtemps, j'ai visité le Royaume de Devarach plusieurs fois, ce qui fait que j'en sais suffisamment pour répondre à vos questions.

Roger semble vouloir se lancer dans ses explications, mais marque une pause, semblant réfléchir. Puis il reprend la parole, enthousiasme.

- Mais, si quelqu'un peut me trouver un bout de parchemin, une plume et de l'encre, je pourrais vous faire un croquis rapide du Royaume? Le messager m'a montré sa carte et m'a expliqué bien des choses. Parce que bon, certains (moi le premier!) préfèrent avoir une image, ça leur permet de mieux comprendre. le Devarach est quand même à plus d'un mois de marche d'ici...

Non de non! Mais qui est l'abrutie qui à fait ainsi sonner les cloches en pleine nuit! Elle qui était arrivé en douce la veille... quoi que c'était plus se matin... ou plutôt tentot, amis bon, il y avait pas de raison d'ainsi faire sonner la clocle! Elle allait lui montrer a réveiller les gens ainsi... et pit zut.. trop vache encore et morte de fatigue... Mais après quelque minute, tournant de gauche à gauche dans son lit, elle finissa par se rendre compte qu'elle était bien curieuse de savoir pourquoi la cloche avait été sonné.. et puis zut.. et oui! Vive la vacheté ou l'amour faramineux pour un bon lit, c'est comme vous voulez. Hum... encore un peut plus a gauche serait confortable non? Et PAF!!! La tite Sass au sol se débattant dans ses draps. Et bien et bien, la féral se défant plutôt bien avec une droite suivis d'une quelque chose, mais le drap semble persister! 2 à 2 pour l'heure, mais qui gagnera! Et le drap devint aillons... Bien couroussé et encore une fois éveillé, mais surtout sortie du lit, elle sortie de la chambre pour voir pourquoi la cloche avait été sonné. Elle arriva pille poil au moment ou un homme demandait de quoi écrire, elle avança donc vers lui toute heureuse et lui tendis un restant du drap et un morceau de boie cendreux qui pourrait faire la même job qu'un fusin. C'était telle une petite chatonne toute heureuse qu'elle rendis son butin, normalement sourie pour un chat, mais drap pour elle.

Zorlock avait mit fin à son tour de garde du corridor de l'auberge quand il entendit les cloches sonner, à une heure plutôt matinale d'ailleurs. Il descendit prestement les quelques marches qui menaient à la salle commune. Il enleva sa cape pour ne pas paraître TROP louche. Bien sûr, il portait une dague noire comme la nuit et katana bien éguisé mais n'en prenait pas compte. Il écouta attentivement les paroles de l'aubergiste et sa petite discussion avec un homme à la cape rouge. Il vit ensuite arriver une femme chat, il avait vu beaucoup de choses étranges dans sa courte vie mais jamais des femmes félins.

-Ummm, une nouvelle terre, voila de quoi faire valoir mes talents! pensa-t-il

-Alors, comme ça, vous seriez déjà aller sur un nouveau territoire à plusieurs reprises, comment?

Vous n'auriez pas quelque chose de plus... adapté? répond Roger à Sassile. Je ne suis déjà pas très doué avec une plume, donc je n'ose pas imaginer user d'un bout de bois brûlé...

Puis s'adressant à Zorlock ;

- J'ai dit que j'avais visité le Royaume de Devarach plusieurs fois, pas que j'avais visité ce nouveau territoire. La province de Nagar'ye est reculée et n'était presque pas habitée par les devarachiens. Si on ajoute à cela au fait que le Devarach n'a jamais vraiment aimé les marchands du sud du continent, particulièrement ceux qui ont des liens avec Tsay, vous comprendrez que je n'ai jamais été dans le territoire dont il est mention dans l'Appel Royal!

-AH! C'est plus clair maintenant.

Zorlock s'approcha de Roger, fouilla dans sa bourse et tendit une plume et un parchemin à l'aubergiste.

Écoutant la musique des cloche, l'inconnue s'arrêta de manger puis sourit. Se relevant, il ramassa son arme et ses affaires puis quitta la chambre dont il avait défoncer la porte. Marchant avec sa chope de vin presque vide à la main, il descendit les marche vers l'attroupement en devenir.

S'adossant contre un mur, il écouta la tête incliné, comme s'il rêvassait ou fabulait ... comme s'il écoutait une douce musique ou juste s'il avait trop but... vas savoir se qu'il se trouvait à trotter dans sa tête à cette heures!

- Mon seigneur... vous pouvez me conter par mit ceux qui marcheront avec vous.

Roger saisit le parchemin et la plume, puis se rend compte qu'il n'y a pas d'encrier.

- Il me faudra de l'encre, monsieur-tout-en-noir, sinon je ne pourrai rien faire. Mais, merci bien, pour le parchemin et la plume.

Puis, répondant au second homme sombre, décidemment plus barraqué que le premier, il éclate de rire.

- Seigneur, moi? Hahaha, vous n'êtes pas sérieux j'espère? Je ne suis qu'un simple tavernier, et encore, sans taverne! Mais, je suis content de savoir que d'autres voudront participer à cette épopée!

Ricanant avec le sourire légé, l'inconnue répondit d'une voie harmonieuse.

- Sachez mon bon seigneur que tous et toute sont pour moi et mes principes de noble personnage... "mon bon seigneur" et pour moi aussi approprié au roi qu'à un pauvre manant dans le fond d'une ruelle puisque je suis ainsi et le juge bon de le dire ainsi ...

Arthorios regarda l'homme en fronçant les sourcis, comme pour dire: quel étrange personnage!

-Et vhous ne vhous trrouvez jamais trrop entourré de seigneurrs à votrre ghoût!?

Se tournant vers Arthorios, il lui répondit avec un demi-sourire.

- Comment le pourrais-je mon bon seigneur? Tans de gens que je n'ai pas encore rencontrer et tans de terres que je n'ai pue voir autrement qu'en fermant les yeux tout en rêvassant à l'écoute des balades d'un troubadours ou des récits des vagabonds de tout origines.

Gul-Bhar se leva de sa chaise qui grinça sous son poids évidament du à sa cote de maille vautrée sous son épais manteau de fourrure. Ce manteau, il avait l'air un peu étrange. On aurait dit du poil de bison, mais pas vraiment comme si la pauvre bête qui revêtait cette enveloppe autrefois avait été mi-humaine. L'homme portait une barbe brune bien garnie et se coiffait d'un chapeau des plus étranges. Pour compléter le tableau, il fumait une pipe d'où se dégageait une odeur abominable. À sa carrure imposante et à sa posture ferme, on devinait qu'il devait être un guerrier endurcit. Malgré tous ces jacasseurs réunit autour du messager, Gul-Bhar n'eut aucun mal à se tailler un chemin jusqu'à lui les importuns étant dégagé par son poids. Il vint donc poser sa lourde stature en face des aventuriers qui discutaient avec le messager.

- Vous accepterez sans doute qu'un chasseur digne de ce nom vous accompagne dans votre marche vers Nagar’ye. J'ai cru comprendre que la région regorgeait de ressources?

Tout en discutant, Gul-Bhar repéra des yeux une féral puma. Un beau pelage lustré, un queue touffue à souhait et sans doute délicieuse au goût. Bref, tout ce qu'il fallait pour redonner à Gul-bhar l'envie de chasse du gros gibier. En fait, il n'en avait pas tué depuis des lustres. Tout ce qui fallait, c'était lui rompre le coups et... Il y reviendrait plus tard. Il chercha des yeux plus loin encore. (Dite le moi si il y d'auitres féral ici présents)

- Vous savez s'il y a du... (Il s'approche du messager pour chuchoter) ...gros gibier à chasser? (Il se recula un peu) Mais bon je ne crois pas que mes planifications estivales vous préoccupe. Je suis Gul-Bhar Ravencrest heureux de vous rencontrer!

Il tendit sa main au messager tout en relâchant la fumée de sa pipe en osier ..

Zorlock décela à un moment dans le regard de Gul-Bhar un étincelle de.... chasse envers la féral puma. Il lui lança un regard chargé d'avertissements (que gul-bhar vit) et retourna à la table où il était accoté la veille. Il prit son encrier qui trainait toujours là et le lança à Roger en balloune. Suite à cela, il remit sa grande cape noire et sortit à l'extérieur.

Il s'accrocha ensuite sur un arbre pour aller explorer EXTRÊMEMENT silencieusement quelques chambres, voir si il n'y avait pas quelques larmes cachées?

Doriath qui s'avait visiblement endormi, attendant toujours son petit déjeuner, mais sans grande espérance pris conscience de ce qui passait alors autour de lui. Toujours muet il écoutait avec une certaine attention tout en gardant ces yeux fermer... On pouvait tout de même distinguer une expression facial qui disait : dans quoi on va encore se fourrer .... Cette nouvelle savait l'air de contrarié légèrement le voleur de vie qui avait l'air de vouloir avoir un peu de quiétude pour quelque temps au moins une fois dans sa pauvre vie de reclus....

Avisant Doriath qui semblait fort démoralisé dans son coins, l'inconnue quitta son pan de mur et marcha vers lui en tenant sa lance comme un bâton de marche.

-Vous me sembler fort peut enthousiaste mon bon seigneur de fouler la fleur de cette vierge terre de vos pieds pavé de cuir, non?

Roger laisse distraitement se poursuivre la conversation entre l'inconnu et Arthorios tout en sortant un petit papier de sa poche. Alors que Gul'Bhar s'approche, il attrape l'encrier lancé par Zorlock. Puis répondant à son nouvel interlocuteur ;

- Selon ce qu'on m'en a dit, effectivement, cette région est remplie de richesses. Le messager du Devarach m'a dit qu'on avait découvert un gisement de larmes rouges conséquent, mais les quelques individus qui ont tentés d'en profiter ne sont jamais revenus vivants. Un rôdeur a raconté qu'il ne restait de leur passage qu'un ou deux bâtiments.

- Mais comme j'ai de l'encre, je vais vous dessiner une carte de la région, vous comprendrez mieux!

Roger débouche l'encrier, et commence à dessiner et écrire sur le parchemin. Il répond à Gul-Bhar.

- Du gros gibier? Vous plaisantez? Si vous en voulez, vous en aurez! Un chasseur courageux (ou ignorant) pourra même se frotter aux alaghes de la région, particulièrement redoutables à ce que l'ont dit.

Le tavernier sans taverne serre la main de son interlocuteur, puis continue du mieux qu'il peut son travail de cartographie.

(Il y a surement au moins 1 ou 2 autres férals (PNJ) présents dans la taverne...)

Zorlock revint après quelques minutes d'absence, son petit tour dans les chambres lui avait bien plus et il en avait trouvé son compte. Il arriva dans la salle de l'auberge pour entendre se qui s'y passait mais surtout pour garder un oeil sur ce chasseur de féral.

Cet homme avait choisi le mauvais gibier, seul le redcap pouvait être chassé. Rien d'autre, encore moins des créatures dotées d'intelligence.

*Du gros gibier? Vous plaisantez? Si vous en voulez, vous en aurez! * Ces mots sonnait doux aux oreilles de Gul'Bhar. Enfin un peut de défi à relever. après quoi il pourrait se reposer en mangeant une cuisse de Féral bien cuite.. Gul'Bhar venait d'appercevoir un autre féral dans le fond de l'auberge. Son envie de chasser prenait le dessus peut à peut. Il ne tenait plus en place et...

*- Bon, revenons sur terre, il va falloir l'attraper ce gibier...*

Puis le petit homme tout de noir vêtu réapparut. De son habitude personnelle, Gul'Bhar savait très bien qu'on ne revenait pas à une auberge si tôt après l'avoir quittée et surtout pour revenir les mains vides. Il trouvait ça louche...Malgré tout, il continua de plus belle sa conversation avec Roger .

-Des Alaghes vous dites? Jamais entendu parlé... Vous pourriez peut-être m'en apprendre plus? Il son gras? De la fourrure peut-être? Je veut savoir! Vous m'avez l'aire d'être un fin connaisseur de ces étranges créatures. Peut-être serai-je le premier à en abattre un?

Gul'Bhar était de plus en plus passionné par l'étrange messager. Il avait l'air d'avoir réponse à toutes ses questions. Tant de questions...

Doriath se retourna vers l'homme et lui répondit

-Bah, en fait j'ai l'impression que cela va dégénéré encore une fois. C'est juste cela, ça ne veux pas dire que je ne veux pas y aller au contraire. Mais c'est juste cela. En plus sa fait un choc quand on viens de se réveiller *rire léger*

Beren, qui était debout a coté de Arthorios, se tourna vers son mentor

on y vas nous aussi? ma premiere aventure...j'ai déja hate! je me demande se que l'on va trouver là-bas...