Affiche placardée près de la place commune.

Une missive était visible aux yeux de tous au village.

Cette missive s’adresse à tout ceux qui ont dressé quelconque forme d’attentat contre notre allier et ami Oberen. Nous trouvons inacceptable et ridicule de condamné un mercenaire engagé par un noble pour les actions qu’il commis autrefois sans en connaître les conséquences. A partir d’aujourd’hui, tout membres faisant partie de force s’élevant contre nos portes en ayant pour but de mettre a mort un de nos compatriotes se verront capturé et interrogés. Nous achèverons ceux à la tête de ce dit « mouvement de vengeance ». Nous faisons ceci pour mettre un terme à cette boucherie, notre but n’étant pas de se faire des ennemis mais de bien veiller au bon développement de la colonie de sa majesté Gacktev 2em. Vous nous faites des chantages sur papier, nous faite parvenir une déclaration de guerre, vous sonnez a nos portes avec les armes 3 fois en moins d’une journée, piller les camps de nos alliers, engagez des mercenaires contre nous, vous tentez même la décapitation d’Oberen notre cher compagnon. Nous croyons juste et normal que cette missive vous parviennent, quoique triste et contre nos valeurs et intentions mais pourtant nécessaire on dirait.

Alvarix Delken
L'idiot de service
Les rôdeurs d’azur
L’horizon
Noldar

Doriath qui passait par la vit l'affiche et lu son contenu

-Tient, tient....

Et continua langoureusement son chemin

Mongan s'approcha de la missive pour la lire tout en se grattant fortement le poignet avec sa plume. Il avait énormément de difficulté à la lire tant il devait se retenir de rire, sans compter la démangeaison que lui occasionnait la marque sur son poignet droit. Après quelques minutes, il réussit finalement à atteindre la fin de la missive. Il regarda son poignet et vit qu'il y était aller un peu trop fort. La pointe de la plume étant maintenant couverte de sang, Mongan eut l'idée d'ajouter une touche personnelle à la missive. Il écriva, à la suite de la signature,: "Idiot de service".

Manu, tu feras l'addition après Alvarix Delken quand tu lieras ce message.

(Il suppose que celui qui a écrit la missive est celui qui l'a signé et croit que le contenu de la missive est idiotique, c'est pour ça qu'il l'écrit(avec le fait qu'il y a déjà du sang sur sa plume) et Doriath a rien à faire là-dedans)

Aroumsha qui mâchait un brin d'herbe au milieu d'un champ vit plusieurs personnes passer devant 'un gros bout de bois carré' au cours de l'après-midi. Elle attendit le coucher du soleil pour s'en approcher. Les yeux écarquillés devant 'le gros bout de bois carré' elle se grattait la tête.. s'approcha d'avantage de la pancarte et se frotta dessus y laissant quelques poils. Elle reparti aussitôt vers son campement.

Armadix aprocha de l'affiche et observa le phrase marqué au sang. Il se retourna, se dirigea vers un feu et attrapa une brindille dont le bout était brulé et retourna vers l'affiche. Il masqua la phrase de suit à l'aide de la brindille. Ensuite il se dirigea vers la tente de Roger, enfila sa capuche et observa l'affiche attendant que le fautif revienne afin de mettre un visage sur l'acte précédament produit.

Néryssa, toujours son fidèle arc à la main, marcha d'un pas sautillant vers l'auberge. Son regard fut aussitôt attirer par l'étrange bout de papier placarder près de la place commune. Jetant un coup d'oeil autour d'elle pour voir si elle ne repèrait pas un danger mais sans tout au plus l'olfarie prit place devant le parchemain et le parcourue de ses yeux bleues. D'Abord sérieuse ensuite rieuse. Le contenue de l'affiche la mit à l'envers certes mais quand elle vit une bride de l'inscription cacher par la suie et comprit que le contenue de cette dite phrase n'était pas prévu pas l'auteur mais aussi insultante car, quelqu'un l'avait barré. Elle ne put s'empêcher de rire un brin. Étais-ce un rire nerveux ou un rire drôle, seule elle le savait. Tous se qu'on pu lire sur ses lèvres c'est le bref mot qu'elle lâcha:

-Ridicule!

Sans faire plus de spectable elle continua sont pas plus loin ou elle alla prendre place sur un banc près du feu innactif.