Après l'orage

Pendant 11 jours consécutifs (à partir de la fin du GN), un orage terrible s'abat dans la région. Les pluies n'ont pratiquement pas cessées, poursuivant la transformation des chemins en mers de boues. La baisse de moral ainsi engendrée (et l'envie de rester au sec) a réduit au stricte minimum les relations entre les différents groupes. Le point positif est que les créatures sauvages, elles aussi, sont restées tranquilles, hormis peut être la tribu de keiju, qui s'est adonné à de nombreux rituels et danses sacrées...

Cependant, le 11e matin (10 de juillemol), le soleil apparait enfin derrières de timides nuages enfin vidés de leur hargne grisâtre, ce qui réchauffe le cœur comme le corps des aventuriers. Un bel arc-en-ciel parachève le spectacle de la nature qui s'éveille après son sommeil, l'herbe brillant des mille feux de la rosée matinale. Les lève-tôt peuvent apercevoir le korrigan se promener un peu partout en gambadant allègrement.

L'odeur de la boue, mêlée au sang des victimes des précédents combats, n'est cependant pas aussi attirante. De plus, une attaque d'éclaireurs fenris vient refroidir la joie des plus insouciants, quoi que les monstres sont étrangement faibles. Finalement, les réserves de nourriture fournies par le Devarach aux nouveaux colons, quoi que nourrissantes, commencent à manquer, autant en diversité qu'en quantité.

Près de l'étal du tavernier sans taverne, on voit Roger qui tente sans trop de succès de réparer le montant de l'abri, brisé lors de la première nuit de l'orage. Sa tente verte, dressée sous les 3 arbres, continue de voleter légèrement au vent.
- Par les milles sacs à malice de Shii, j'aurais dû payer un peu plus cher que 40 larmes!
Après un crac sonore, Roger laisse tomber l'abri (dans les deux sens), et va s'assoir sur son gros coffre bleu, après avoir pris le temps de déboucher une bouteille de vin.
- Ça va me remonter le moral..., marmonne-t'il pour lui-même alors qu'il porte la goulot à ses lèvres.

Marchant dans le sentier avec précaution, Artemyst traversait le paysage entre la rivière et la clairière menant à se qui reste de l'auberge. Serrant sa cape en loque sur ses épaules, se servant de sa vougue pour s'aider à conserver son équilibre dans la mer de boue qui servait de chemin à la bourgade, il s'avança vers roger le tavernier. En approchant, on pouvait clairement voir quelques bandages refermant une affreuse plaie à son épaule gauche qui avait arracher une partie de son armure.

- Alors mon bon seigneur... le désespoir qui empeste ses terres est partie avec la pluie, rendant impraticable les routes... cela me remplie d'aise, je doit l'avouer. Qu'est t'il arriver à votre baraquement ... emporté par le divin désespoir lui aussi?

un barbare au tavard rouge sang sur le cap rocheux derrière l'auberge, surveille le champ des colonisation et pousse un grand rire.

-Je ne pensait pas que l'orage ferait tans de dégat, nous verront moi et les autres qu'adviendra t'ils de ses colon.

J'espère qu'ils partiront et nous laisseront la place pour une fois.

*Apparaissant derrière le barbare, sortant de la forêt sans prêter vraiment attention à l'homme, Karkos, l'alpha des nomades, se dirige vers Roger et son étale (petite auberge).*

Regardant Karkos apparaitre, Artemyst le salua en sourriant en disant.

-Content de te revoir, mon bon seigneur féral. Finalement, avez vous eu le chasseur?

Arrivant lui aussi de derrière le barbare, Zorlock s'en approcha, le dépassa de quelques pas et fit volte face en reconnaissant le tin du tabard du guerrier, il s'en rapprocha et lui dit:

-Étrange, cette couleur de vêtement me rappelle quelque chose, votre manière de parler aussi, mais surtout, l'odeur que vous dégagez.

Faisant fortement allusion à un redcap, Zorlock se dit deux choses: soit qu'il venait d'en combattre sans qu'il ne l'ait su (ce qui est presque impossible) ou alors qu'il soit avec eux.

La pluie ayant finalement cessé, Hassan réinstalla sa forge et entreprit d'affûter son cimeterre.

Citation :

Qu'est t'il arriver à votre baraquement ... emporté par le divin désespoir lui aussi?

- Oui, il s'est brisé au début de l'orage. J'ose espérer que je pourrai le réparer, afin de ne pas perdre mon investissement.

Voyant que quelques personnes s'approchaient, et les saluant d'un signe de tête, il poursuit.

- Mais l'orage est terminé, et il reste encore 20 jours avant la fin du mois. J'ai bien l'intention, et j'espère que les colons pourront m'y aider, que la colonie soit prête à accueillir les premier paysans.

Il se relève rapidement, joyeux comme tout.
- Oh, j'oubliais! J'ai demandé au messager qui est passé avant hier (le pauvre), avant qu'il ne retourne à Magadan, d'envoyer du matériel de coupe, des clous et tout le nécessaire de construction. Ça m'a coûté cher, mais ça en vaut la peine. Nous pourrons commencer les constructions ; j'ai des centaines d'idées! Nous pourrions...

Mais il semble se raviser, s'assoit puis boit une gorgée de vin.

- Excusez-moi. J'ai toujours tendance à m'emporter, et je ne vous laisse point parler. De plus, afin d'éviter de me répéter, j'aimerais bien que plus d'aventuriers soient présents ; nous sommes tous des colons, après tout, et nous devrions prendre les décisions ensemble.

Affichant l'espace d'un momment son rare sourrire devant le désespoir de Roger, Artemyst avança vers lui.

- À quoi servent les chutes et les déboires sinon à les surmonter mon bon seigneurs? La toiles peut se recoudre, les madriller réparer et la corde brisé renoué de nouveau. La volonté est tel les flammes de la forge... bien allimenté, elle peut renaitre de ses cendre et vous renaitrerez. Je voie en vous la volonté qui résine ... alors parlons de cette résine...

Avancant encore, il écarta les bras tel un guide montrant les beautés de sa luxurieuse demeure et lui chuchota lentement avec une voie qui glaçait le sang.

-Mon bon seigneur... vous parliez de 100 idée... qu'aviez vous donc en tête?

- Comme je vous l'ai dit, je préfère attendre qu'il y ait plus de participants à la discussion. Nous pourrions ainsi faire une... "tempête d'idées", ce qui serait certainement très constructif. Je crois que ce soir, nous pourrions certainement rassembler plusieurs personnes et discuter tout ensemble, ici même. Qu'en pensez-vous?

- "Tempête d'idées". J'aime bien cette métaphore, surtout après un tel orage ; pas vous?

Jetant un coup d'oeil aux hommes présents, particulièrement le barbare taché de sang, il change de sujet.

- Hassan, vous vous préparez pour un combat? Auriez-vous eu vent d'une attaque de redekap ou quoi que ce soit du genre?

Zorlock a écrit:

Arrivant lui aussi de derrière le barbare, Zorlock s'en approcha, le dépassa de quelques pas et fit volte face en reconnaissant le tin du tabard du guerrier, il s'en rapprocha et lui dit:

-Étrange, cette couleur de vêtement me rappelle quelque chose, votre manière de parler aussi, mais surtout, l'odeur que vous dégagez.

Faisant fortement allusion à un redcap, Zorlock se dit deux choses: soit qu'il venait d'en combattre sans qu'il ne l'ait su (ce qui est presque impossible) ou alors qu'il soit avec eux.

-ARGH
et il disparue comme il étais venus.

- (Levant la tête de sur son arme) Non, j'essaie simplement de développer mes talents de forgeron. D'ailleurs, quand le feu de forge sera prêt, je serai en mesure de vous aider à réparer votre abri.

Citation :

Content de te revoir, mon bon seigneur féral. Finalement, avez vous eu le chasseur?

*Avançant pour rejoindre l'étale, Karkos hocha la tête.*

Lui plus faire ennuis. Lui avoir mérité dernière chance.

*Regardant Roger, s'en approchant d'un pas lent, roulant les épaules.*

Étale brisée, vous demander clous pour réparer?

Citation :

-ARGH
et il disparue comme il étais venus.

-C'est bien ce que je croyais...

Zorlock laissa le temps de s'enfuir à sa proie pendant quelques secondes. Mais ce temps écoulé, il partit à sa poursuite, bien déterminé à le rattraper et à lui faire cracher le morceau, dans les deux sens du termes.

- Merci beaucoup de votre offre, Hassan! J'en prend bonne note, et vous savez que comme on dit, "un service en attire un autre".

Jettant un oeil à Zorlock, il est amusé de voir le chasseur de redekap laisser une longueur d'avance à sa proie, puis répond à Karkos.

- En fait, l'étal sera bien inutile si, comme je le crois, nous pouvions construire une taverne. C'est pour un VRAI bâtiment que j'ai commandé des clous, entre autre chose. Quant à l'étal, je ne sais pas ce que nous pourrions en faire. Quoi que ça serait un endroit judicieusement choisi pour y faire un grand feu de joie pour les futurs fêtes du village. À moins que quelqu'un aie une meilleure idée?

Un homme arrivat sur la place. Il étais de taille moyenne (environ 6 pied) et avais les cheveux grisatre presque blanc. Ses yeux avec le contour noirci a la peinture.Il avait une démarche étrange, Sacader est le mot qui conviendrais le mieux, et un regard qui semblait perdu. Il s'aprochat, de sa démarche claudicante, pret de la tente et demanda a l'aubergiste

-Sir! oh mon frere. J'aurais grandement besoin d'un verre

puis apres avoir pencher son cou sur le coté un large sourrire qui ne semblais pas naturelle s'afichat sur son visage

Voulant causer à Roger de l'étrange bijou qu'il lui avait vendu, Adara, qui pouvait parler depuis quelques heures à peine, se dirigea vers "l'auberge". La tente gisait en boule près d'un Roger défait, l'air résignée à la main sa bouteille. L'Olfarie salua Hassan qu'elle aimait bien, sourit à Karkos qui lui renvoyait toujours un merveilleux sourire et s'approcha de Roger.


- Mais que se passe-t-il, mon pauvre Roger! Votre mine est aussi déconfite que le pauvre herboriste qui se terre dans notre tente depuis notre arrivée ici. Si vous le voulez, je composerai une ode à votre bravoure et à votre courage en de si inhospitalières terres. Ça vous dit? Et, oh, le bijou que vous m'avez vendu l'autre soir, avant la tempête, j'aimerais que nous en reparlions. Il m'est arrivé d'étranges choses...

Adara se retourna et, voyant qu'elle attirait un peu trop l'attention, se mit à rire:

- Ah! Mais, ça n'intéresse personne ce que je raconte! De quoi traitiez-vous donc?

Chacal...

*Derrière Adara, Karkos s'était approché d'elle un peu, maintenant à quelques mètres à peine de la femme, il se tenait droit, un sourire amusé aux lèvres. Il regardait Roger par-dessus l'épaule de l'Olfarie, semblant s'amuser.*

Adara s'approcha du Féral

- Bonjour Karkos! Je ne vous avais pas remercié de m'avoir tenu compagnie l'autre jour, alors que j'étais sans personne... Puis-je vous chanter quelque chose en gage de gratitude?

Elle souriait.
Elle ne faisait donc que chanter? Bah... oui!

*Karkos hocha la tête, semblant heureux de l'offre d'Edala.*

Karkos aime musique. Karkos accepte.

puis pretant enfin l'attention qui étais du au domaine de l'aubergiste, Mesmero remarqua la pietre état de la tente et du reste du campement. Puis il s'adressa a l'aubergiste a nouveau mais cette fois si avec un air coupable comme si il se sentais terriblement mal..


-mille excuse mon frere. L'humble paysan que je suis n'a jamais remarquer le pietre état de votre demeure. Je suis tres mal placé de venir vous demander a boire dans une situation pareil! je m'ériterais une morsure telle qu'un ours ne pourrais pas en faire!

puis il se regarda le bras avec un large sourrire et les sourcil baisser vers le centre de son visage. comme d'un air sournois ou meme sadique