Salle commune (Suite du sujet principal)

-Soit, mais d'ou je viens, c'est l'habitude de connaitre une personne le plus possible. Je croyais ainsi que sa m'éviterais a vous demandez directement votre age, j'y suis donc aller plus subtilement...seulement vous êtes vif d'esprit, madame...mademoiselle devrais-je dire.

Il rit un peu puis lui révéla sont age.

-Je suis dans la 30 aine, 33 plus exactement.

- Vous êtes beaucoup plus âgé que moi, alors !

Laora souriait, rigolant un peu.

- Je dois avouer que vous êtes bien conservé ! Bien se connaître ? C'est une chose qui me plaît !

Revenant à l'intérieur après avoir épié la conversation, Zorlock s'acota sur la table avec ses mains.

-Et vous Laora, quel âge avez-vous?

Regardant Zorlock qui venait de faire irruption, un léger sourire énigmatique planait sur les lèvres de l'Olfarie.

- T-t-t-t. Un jeune homme bien mal élevé !

Lui faisant un clin d'oeil, Laora retournait prendre une gorgée, scrutant le plafond des yeux.

- Disons que tout est relatif et sur ce point, ce l'est davantage ! Et vous même ?

Un homme habiller tout de noir sorti d'une des chambres du premier étage de l'auberge. Referment, sans faire de bruit la porte derrière lui, essuyant son katana sali par le sang frais et le replaça dans son fourreau. Il se dissimula sur le coin du mur proche d'une fenêtre de l'auberge, enveloppé parfaitement dans l'ombre et écouta attentivement l'ambiance de la salle.

-Mal élevé, peut-être, mais curieux, certe! Vous avez dit être plus jeunne que l'aubergiste, soit 33 ans si je ne me trompe. Mais vous voulez savoir mon âge en plus. (redevenant plus calme) Bon, sachez, chère, que étant donné le fait que vous sachez mon nom, personne ne sauras jamias mon âge, soyez en certaine! Vous dites jeune, là dessus vous avez bien raison, mais nul ne sait et ne saura jamais mon âge. Parole de Zorlock!

Là dessus, Laora rigolait, et posant son regard sur lui, les mains contre la table, un léger sourire, un étrange sourire, il faut dire. Puis elle articulait soigneusement...

- Vous pariez ?

Détournant son regard vers Irvrack, l'Olfarie attrapait sa coupe, termnant son verre.

Étonner par les paroles de Laora.

-Allons-y alors. Essayez.

Dit Zorlock sur un ton amical.

-Mon chère, vous faites erreur. Elle peut facilement savoir votre âge. Elle n'a qu'à vous menacez de révélé votre identité à tout le monde, et vous serez obliger de parler...ou bien de perdre votre couverture, car vous semblez bien mystérieux, comme si vous auriez quelque chose a caché.
Puis il regarda Laora et fini lui aussi son verre.

Inclinant son visage d'un seul sens, Laora regardait Irvrak. Un petit sourire aux lèvres, un doigt venait tappoter sa propre tempe droite, suivit d'un clin d'oeil.

- Vous êtes futé ! Enfin, c'était la première solution, je crois bien avoir un second lapin caché dans mon chapeau, à tout coup ! Vous souhaitez toujours ce petit duel de mot ?

Dit-elle, ensuite, a Zorlock, souriante.

-Non, cela suffit, et pour être franc, j'ai perdu la notion du temps et des âges il y a bien longtemps, je sais seulement que nous sommes en l'an 1008! C,est tout ce que je peut dire!!!

Il regardait Opium avec un regard provoqueur.

Laora souriait, en venant même a rigoler légèrement, glissant un doigt contre ses lèvres, à le regarder.

- Oui, le temps passe vite ! C'est justement pour ça qu'il faut en profiter. Vous avez la base de la notion, je pourrais vous apprendre le reste. Si vous le voulez bien.

Le regard de l'Olfarie s'était adoucit, regardant Zorlock.

-Ne vous gênez pas surtout.

Zorlock s'était de nouveau assis et regardait Laora avec un regard sans émotion.

Laora sentait bien se regard et en vint a soupirer, se redressant aussitôt. S'inclinant devant eux, elle s'en fut ensuite, grimpant de quelques paliers l'escalier avant de s'y asseoir, soupirante. De nouveau seule, elle ressortait la lettre dans sa besace, la relisant tout en jettant des regards ça et là.

La porte de la taverne s'ouvrit doucement, laissant le passage à un homme de haute taille.



Emmitouflés dans une lourde cape noir, il marchait d'un pas ferme avec une lance à lame recourbé en guise de bâton de marche. Chassant la neige de ses long cheveux châtain nuancé de gris, il prit une table en silence et s'assied, visiblement épuisé de la longue marche.

L'homme habiller tout de noir vit s'assoir l'Olfarie devant lui et la voyant sortir la lettre dans sa besace.
Il s'avança très doucement de deux pas et vit parfaitement la lettre.
Il la lit très rapidement et recula de deux pas.
(Opium peut tu m'envoye le contenue de la lettre par MP, Merci)

Il se remémorait les dernières lignes de la lettre, il était intrigué par ces mots et décida finalement de dire à voix basse.
-Si vous voulez, je peux vous aider à le retrouver.

Un petit cri, bien vite coupé par une petite main, se fit brièvement entendre. Tournant lentement la tête, l'Olfarie regardait derrière elle. Les pommettes rougissantes, un brin embarrassée qu'on est lu la lettre, elle regardait un peu le sol.

- Je... Oui, je veux bien, merci...

Souriant doucement, le regard toujours figé au sol, son coeur battait à tout rompre.

Ayant aperçu l'homme qui venait d'entrer, Zorlock se rapprocha et lui dit:

-Bonjour nobl.... mess..... vous! Vous m'avez l'air bien fatigué, puis-je vous offrir un verre?

Zorlock écoutait la conversation qui se passait plus loin d'une oreille.

Toujours en gardant un ton silencieux.
-Si vous voulez bien allez à la troisième chambre à votre droite, nous pourrions en discuter plus tranquillement et évitez de se faire entendre, ce qui doit déjà être le cas.
-ah aussi, ne soyez pas surpris du cadavre sur le lit en entrant.
-Allez-y, je vous rejoindrai.

Après avoir entendu Loua, Zorlock alla chercher un verre à l'homme car il (moi) ne buvait pas. Attendant toujours une réponse de la part du mystérieux étrangé. ( )

Laora déglutitdu coup, ne pas s'étonner du cadavre ? Se redressant lentement, doucement, question déviter tout geste brusque, l'Olfarie s'inclinait, chuchotant un mot signifiant que le tout était bien comprit. Le cou tordu vers la salle, que Cayrelle contemplait peut-être pour une dernière fois, un sourire en vint à naître sur ses lèvres, filant ensuite à la chambre.

- Je vous y attendrai sagement, Seigneur...

Regardant Zorlock, il leva la tête et parla d'une voie grave et râpeuse.

- Une choppe de bière et un repas chaud... il reste des chambres?

Répondant à l'inconnu:

-Je crois que si, je vais voir si il reste des clés.

Il revint quelques secondes plus tard, une clé à la main.

-Chambre 8. Celle du burglote fumant si je lis bien

Il se rassit et attendit que l'homme parle.

Prenant la clé, il déclara?

- burglote fumant ... quesce donc ... et pour la bière et le repas?