Bienvenue au Repos du Caladrius

sur le pas de la porte...lao afficha un sourrire en coin....

décidément auberciste tu ne sais pas se que tu veux j'ai quelque chose qui me chicote mais je ne ferais jamais ca devant témoin voyons....et en plus tu a l'air de vouloir monter tout le monde contre chacun...

lao planta une dague dans la porte de l'auberge....et franchit la porte de l'auberge malgré la pluie il savais qu'il allais revenir bientot....

bonne nuit a tous...

Sassille alla donc voir l'aubergiste et lui demanda a voie basse :

Pourais-je avoir de quoi manger, rien de cuit, de la viande crue fera et aussi une chambre svp ?.

Dagan hocha la tête en signe d'affirmation...
-Pas de problème... La chambre sera la numéro 11 et (Dagan fouilla sous le comptoir) voilà une viande digne de Laëstrom seulement pour toi !

Voyant sa soeur s'acharner sur cet homme qui partait, Adara se dirigea vers eux et arriva aux côtés de Cayrelle juste comme le guerrier passait la porte.

En Kamarhien : Mais veux-tu bien arrêter de jouer avec lui, Cayrelle! Nous sommes seules ici, nous avons perdus nos frères et personne dans cette pièce n'est digne de confiance! Tu vas arrêter de jouer à la plus maline car je ne serai pas toujours là pour veiller sur toi.

Adara était dans une colère noire. Même sans comprendre un traitre mot de la conversation, on pouvait très bien déduire qu'elle n'était pas de très bonne humeur...

Toujours en Kamarhien J'en ai assez de tes petites manies ou de tes mimiques que tu veux enjôleuses. C'est ça que tu veux, ma soeur? Finir comme moi?

D'un geste sec, elle lui prit la clé de leur chambre des mains, courru vers l'aubergiste et lui dit

Sire, je souhaite pour vous que nous passions une bonne nuit calme...

Et elle s'engoufra dans le sombre escalier.

(Je sais pas trop si la chambre était au premier ou... mais bon.. ça passe! )

Trempé du haut en bas, le chevalier guérisseur dans sont éternelle tunique rouge rentre dans l'auberge avec joie après la marche qu'il a du faire un peu de repos ne peut lui faire de tort! Dès qu'il rentre il remet son épée dans son fourreau et son énorme bouclier est comme toujours attaché a son bras tel une muraille face à une armée. Dévisageant les férals en particulier le très sauvage karkos et regardant si les olfaries qu'il avait protégé à l'ancien village du défun maire thimoléus sont la.Voyant l,une d'elle a une table et une autre partir en furie selon lui siegfried vas voir celle qui est resté a la table.

Bien le bonjours gente dame comment allé vous? Avez vous eu des mésaventures depuis la dernière attaque ou ma protection lors de cette froide nuit vous a suffi?

*Un voleur de vie entra alors dans l'auberge. Connaissant très les gens qui s'y trouvait il alla s'assir en avant du contoir et demanda a l'aubergiste*

Bonjour mon cher. T'aurais tu du pain pis d'la biere ???

Un regard vers Karkos, et bon, Laora semblait un brin troublée par les paroles. Faut dire qu'en terme de '' elle '', elles n'étaient pas très nombreuses. Restant immobile, Laora prenait '' les coups '' des paroles de sa Soeur, sans un geste, l'Olfarie laissait Adara rager puis fuir. Le regard braquée sur le centre de la table, la voix masculine la fit sursauter, sans que cela ne se voit.

Je... Oui, oui... Ca va bien, aucun danger n'a bondit sur nous depuis... Merci pour la protection.

Se redressant d'un coup, Cayrelle farfouillait dans sa besace, pour en sortir une petite pièce de tissu qui la recouvrait peu de temps après son apparition, pour la tenir au chaud. C'était à peu près évident que quelque chose, chez elle, clochait. Puis elle s'en allait vers la porte, soupirante, les yeux mis clos. Se tenant près de la porte, l'Olfarie agrippa la dague, question d'être maintenant armée, et durant que sa silhouette disparaissait à l'extérieur, la voix chantante résonna :

Nous sommes réunis sous un soleil infini... À jamais... À jamais...À jamais...

Plissant les épaules, Laora disparut dans l'ombre, camoufflant la dague sous la pièce de tissu qui la couvrait, c'était probablement son sac rose qui resta le plus longtemps visible.

J'en ai marre ! Je trouve ce type et je le lacère ! Je trouve tes les hommes et je les fait eunuque ! Non, mais quoi ! Lui ressembler !? Déja qu'elle cesse de râler ! C'est bien elle qui se fait charmer tout bord tout côter ! Tandis que moi, je ne suis pas aimée ! Même pas de ma propre soeur ! J'en ai marre ! Je VEUX retourner chez moi... Mais maman ne me reconnaîtra peut-être pas...

Le regard roulait au sol, et l'Olfarie repartait vers le boisée qui l'avait accueillit, sa Soeur et elle.

Au fond, il n'y'avait peut-être que lui pour m'aimer...

*Karkos revient de la chambre, pensif. Il s'arrête un moment, puis cherche des yeux Dagan, duquel il s'approche.*

Toi avoir plus place? Ou plus chambre comme ça?

*Son regard se fit un moment distrait sur la nourriture sanglante qu'il venait de proposer à Sassille, mais il revint à lui pour écouter sa réponse.*

jpgreat a écrit:

*Un voleur de vie entra alors dans l'auberge. Connaissant très les gens qui s'y trouvait il alla s'assir en avant du contoir et demanda a l'aubergiste*

Bonjour mon cher. T'aurais tu du pain pis d'la biere ???

Dagan de dire :

Malheureusement, Voleur de vie, je n'ai que de l'eau pis de la viande. Bienvenue au Repos du Caladrius !

Je plaisante... Voilà une belle choppe de bière !

Par la suite, il entendit Karkos lui demander s'il y avait d'autres chambres... Quel ingrât !

-Non. Pas autre chambre. Toi contenter de celle-là, ajouta-t-il d'un ton narquois...

Merci cher aubergiste voilà 5 écus pour vous.

*Il sortie 5 écus de sa poche et les donnas a l'aubergiste.Le voleur de vie reconnu alors Karkos un peu plus à gauche de la salle et lui demanda*

Pis le féral la chasse et bonne !?

*Karkos se tourna vers le voleur de vie qui venait de lui parler. Un peu surpris, il hocha la tête.*

Oui. Chasse bonne, mais vient acheter chambre pour hivers. Toi?

*Karkos se tourna vers Dagan. D'une voix ferme, il lui répondit.*

Alors toi pas larmes. Et pas Nomades ici, toi perdre beaucoup acheteurs.

*Il se retourna, et se dirigea vers la sortie. Sassille n'était pas en vue, mais Karkos ne s'en fit pas, continuant vers la sortie.*

Étonné de voir la jeune olfarie partir rapidement lui qui voulait converser avec cette jeune demoiselle se résigna à prendre une chambre à l'aubergiste.

Aubergiste auriez vous une chambre de libre pour la nuit par hasard?

""Étonné de voir la jeune olfarie partir rapidement lui qui voulait converser avec cette jeune demoiselle se résigna à prendre une chambre à l'aubergiste.
Aubergiste auriez vous une chambre de libre pour la nuit par hasard?""

-Bien sûr, j'ai des tas de chambres de libre !
Ce sera la numéro 11... Voici les clefs....

Puis, Dagan sembla s'arrêter. Il figea dans l'univers, devenu bloc de pierre. Il revint de sa torpeur puis leva le nez dans les airs... Il se mit à renifler l'ambiance puis, comme il l'avait fait une fois plus tôt, se précipita à vive allure à l'extérieur, une fois de plus devant des clients ébahis...

Il s'arrêta devant Mysterio, l'olfarie ainsi qu'un géant....

-TOI !! Le géant ! Si tu égratignes seulement 1 de mes clients, je t'expédie immédiatement en enfer...

completement trempé mystério regarda chupa se rendre vers l'auberge...il leva la tête vers le ciel pour apercevoir quelque peu la lune au travers une percé de nuage...

Un léger frisson lui traversa l'échine....il en avais plein le cul de sa malédiction et celle si devrais durée encore un bon bout...

IL emboita le pas jusqu'au perron de l'auberge ou il s'assis regardant la pluie tombé l'air ennuyé....

lao pénétra dans l'auberge et alla se chercher une pinte...et retourna s'installer a l'extérieur...

balancant quelques larmes de plus pour la femme de ménage....

Ne se souvenant même plus pourquoi il était sorti à l'extérieur et qu'est-ce qu'il foutait là, Dagan retourna dans l'auberge, vola les larmes données par Mysterio pour la femme de ménage, puis alla se coucher d'un sommeil profond où il rêva de sa future proie...

mystério se dirigea vers le perron de l'auberge biere en mains...il attendrais le jour pour parler aux olfaries pour l'instant il attendais d'avoir un signe de sa bande....n'ayant pas toujours le meme dessein mais restant toujours unis les kash la mort se séparais souvent mais d'instinct tous savais comme par magie ou l'autre était....

mystério se souvint alors d'un chevalier qui était entrer mais lui disais t'il qqchose aucune idée...

chevalier d'ou viens tu....lui lanca mytério....est ce qu'on se connais....

Voyant que chupa-chupa et mystério ne se sont pas battu comme Siegfried le pensait, le jeune chevalier errant se promena un peu dans les bois, en se promenant il passa involontairement près du féral et le cogna avec son bouclier en passant à côté de lui en croyant que c'était un animal sauvage surtout que la nuit la différence entre le féral et une bête est très difficile a voir. Siegfried continua sa route d'un pas un peu hautain et retourna vers l'auberge se reposer alors qu'il arrivait sur le perron, l'homme qui a failli se battre avec chupa lui parla alors.



me parlez vous sire, en tout cas non je ne vous connais pas, peut être que c'est le coup de masse que j'ai recu sur la tête lors de la bataille qui ma fait oublier mais dans tout les cas je ne me souvient pas de vous, sinon et bien je viens du royaume de Féria et vous mon cher?

un sourire se dessina sur le visage de mystério....


si au moins je le savais moi meme.....

(Ouai, c'est moche.)

"Au loin.."

Dum! Dum! DUUUUM!! J'aime le poisson, j'aime le poisson! JE AIIIIMEEEE le bon poisson!

"Les portes de l'auberge s'ouvre avec fraqua, c'est Mashk, le féral, vêtu d'une épaisse fourrure de sanglier portant a son dos un énorme sac qui sent le poisson pas frai. Il s'exclame :"

J'ai faim! J'peu tu emprunté vot' cuisine?!

mystério sourit en coin voyant la porte s'ouvrir ainsi....

si ca continue l'aubergiste va de voir changer sa porte.....hahahaha...elle se fait tellement molesté...